Les deux fondatrices de maltivor, lola et gabrielle sont sur la photo en souriant face à nous en étant côte à côte

Comment est née Maltivor ?

Avec Maltivor, mange ta bière !

Maltivor est née d’un constat simple, 88 % des céréales utilisées lors du brassage de la bière, aussi appelées “Drêches” sont gâchées. En effet, les drêches sont parfois récupérées par les agriculteurs locaux pour l’alimentation animale. Cependant, en milieu urbain, et avec la croissance du nombre de brasseries, la gestion de ces biodéchets devient problématique.

Depuis 2018, Maltivor transforme alors la drêche de bière, non valorisée et pourtant riche en fibres, protéines et saveurs en une matière première innovante et anti-gaspillage : la farine de drêche de bière !

De ce co-produit unique, est née une gamme anti-gaspillage large composée de produits pratiques, gourmands et bons pour la planète !

Mais qui est à l’origine de Maltivor ?

Maltivor est née de la collaboration entre Lola et Gabrielle !

Lola, anciennement dans la finance, soucieuse de l’environnement et amatrice de bières artisanales, s’est lancée dans la valorisation du co-produit de la bière : la drêche. C’est alors en 2018 qu’elle a créé Maltivor et que la farine de drêche de bière Maltivor est née !

Quant à Gabrielle, ingénieure agronome de formation et particulièrement intéressée par la valorisation des co-produits de l’industrie agro-alimentaire, a tout naturellement rejoint l’aventure Maltivor lors de son stage de fin d’année afin de développer le processus de fabrication et est finalement devenue associée en 2021 !

C’est alors ensemble, et aux côtés de toute la Malti’Team, qu’elles font rayonner la drêche de bière auprès du grand public !

Et pourquoi le nom “Maltivor” ?

Le nom Maltivor est né de la fusion entre le mot “Malt” et le suffixe issu du latin “-vore”. Le malt de céréales est l’ingrédient principal de la fabrication de la bière, il se transforme en “drêche” à l'issue du brassage. Le suffixe "-vore" rappelle l'action de manger.

Ce nom a pour but de montrer qu'on peut aimer boire une bonne bière et que chez Maltivor, on va plus loin : on la mange !

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